
Le covoiturageA cause de mon travail je dois me rendre à l’autre bout du pays en voiture. J’ai doncdécidé de m’inscrire de poster une annonce sur un site de covoiturage, sans grandeconviction, pour ne pas faire ce trajet seul. Je ne m’attendais pas à avoir de candidat vue lagrande distance que je dois parcourir mais une personne est intéressée. Je me dirigeactuellement sur notre lieu de rencontre. J’arrive sur les lieux, je regarde ma montre je suisen avance. Je patiente en lisant des articles de presse divers sur mon téléphone. Un taxiarrive et dépose quelqu’un sur le parking, je descend de ma voiture.Je m’approche de cette personne, c’est une femme la cinquantaine. Nous noussaluons. Je l’aide à porter ses valises jusqu’à ma voiture. J’essaye de tout faire rentrer dansle coffre, ma voiture n’est pas très grande. Une fois que tout est bien placé je m’installe dansmon siège.- Il fait meilleur ici que dehors- Vous avez raison oui monsieur- Je vous en pris appelez moi Stéphane- Dans ce cas appelez moi Sofia- Enchanté chère Sofia- De même, dites moi cela vous gène si j’enlève mes chaussures, j’aime être àl’aise pour la route- Faites comme chez vous il cela ne me gène pas du toutElle porte des talons haut, je la regarde poser son pied sur sa cuisse et enlever sachaussure, elle pose son pied au sol et fait de même avec l’autre chaussure. Je continud’observer même après qu’elle ai fini. Ce sont des jolies pieds, bien vernis. Je ressens unesorte d’attirance en les regardants. Elle me sort de mon rêve éveillé.- Ils vous plaisent ?- Pardon ?- Mes pieds, ils vous plaisent ? Vous les regardez depuis un moment.- Excusez moi je ne voulais pas être impolis.- Ce n’est rien mais vous n’avez pas répondu.- Je les trouve très beau étrangement.- Merci, mais pourquoi trouvez vous ça étrange ?- Je sais pas.- Vous voulez bien me les masser avant qu’on parte ?Elle met son dos contre la portière, passe ses jambes au dessus du levier de vitessepour venir les poser sur mes cuisses. Elle enlève une et son pied se trouve à proximité demon visage tandis que son autre jambe reste sur mes cuisses avec son talon appuilégèrement sur mon sexe. Elle bouge ses orteils devant mon visage et son talon sur monsexe.- S’il vous plaît ?- Oui bien sur.Je masse le pied qu’elle avait mis en l’air.- Je vous remerci.Elle continue de bouger ses orteils, je suis hypnotisé par leur mouvement. C’est comme sic’était un appel à approcher mon visage d’eux. Peut être les embrasser ? Ou les sucer ? Ilss’approchent de façon imperceptible de moi. Je peux presque déposer mes lèvres dessus.- Vous pouvez passer à l’autre pied s’il vous plaît ?- Bien sur.Dommage, j’aurai aimé arriver à mes fins. Je prend l’autre pied et je commence à le masser.Elle bouge aussi ses orteils. J’ai envie de les embrasser. Je ne suis pas sûr qu’elleaccepterait et puis c’est quand même bizarre comme idée. Mon sexe est dur, entre lemassage que je fais et son “massage” à elle. Tellement dur que je risque de venir commeça. J’essaye de me retenir mais ce n’est pas facile. Je sens que je suis à ma limite. Jecommence à trembler.- Merci ça m’as fait du bien.Elle s’assied normalement à sa place. Je reste bouche bé et très frustré.- Je peux continuer si vous voulez.- Non merci, par contre vous pouvez me rendre izmir escortlar service je crois que j’ai uncaillou au fond de ma chaussure mais je n’arrive pas à le voir.- Montrez moi ça.- Regardez bien au fond, près des traces de mes orteils.- Je ne vois rien.- Approchez bien votre visage vous verrez mieux.J’approche mon visage de sa chaussure pour essayer de voir ce qu’il y avait au fond. Jevois effectivement la trace de ses orteils sur la semelle mais pas de caillou. Je m’approcheencore plus. Je commence à sentir une odeur envoutante.- Vous ne voyez toujours pas ? Regarde mes orteils pourtant.Elle pose à nouveau ses pieds sur mes cuisses. Elle me malaxe doucement le sexe. Jeregarde ses orteils pour essayer de voir quelque chose de spécial mais je ne remarque rien.Elle me prend la chaussure des mains et me la colle contre le visage, l’odeur est plus forte.Elle me met le nez dedans.- Effectivement je me suis peut être trompé mais c’est pas grave. Respire bienpour faire connaissance avec mes pieds. En fait avec leur odeur surtout.Je suis à nouveau proche de la jouissance je commence à trembler. Comme toujours ellestoppe ses caresses.- Je te propose un marché, je te fais jouir si tu gardes ma chaussure sur le nezet t’embrassera mes pieds quand tu auras fini.- D’accord.-Elle sort mon sexe de son pantalon et le branle avec ses pieds. J’ai son odeur sur le nez.C’est très rapide au bout de quelques secondes je me vide sur ses pieds. Je vois mon foutrecouler le long de ses orteils jusqu’à sa cheville.- Allez tu dois les embrasser maintenant.Elle approche un pied de ma bouche. J’ai devant la bouche ses orteils couvert de monsperme. Je dépose timidement un baiser dessus.- Mais non ne sois pas si timideElle pousse ses orteils dans ma bouche en forçant le passage.- Voilà lèche les biens maintenant. Je les veux propre.J’obéie, une fois bien lécher elle me tend l’autre pied en me disant de faire pareil. Jem’exécute.- Tu as aimé je suis sur. N’hesite pas à me demander quand tu auras envie demettre ton nez dans mes chaussures à nouveau.Je démarre la voiture. Nous parlons de tout et de rien. Elle enlève ses bas en nylonet les place sur les sortis d’aération autour de moi de telle sorte que je sente l’odeur de sespieds tout le trajet. Au bout de deux heures de route je m’arrête sur une aire pour faire unepause. Je sors du véhicule et je m’en vais ouvrir la portière de Sofia.- Je te remercie c’est bien galant. Peut tu me chausser s’il te plais.Elle me tend ses chaussure, je sens leur odeur. Je commence à bander. Je lesprend. Je chausse un de ses pieds.- Embrasse l’autre avant de le chausser.Je pose mes lèvres sur ses orteils. Elle force le passage pour me mettre son pied dans labouche en rigolant. Elle bouge ses orteils. Ma langue passe sur chacun d’entre eux. Elleretire son pied et je la chausse. Nous allons vers le restaurant de l’aire. Je prend un café etelle aussi. Nous nous asseyons à une table un en face de l’autre. Elle pose un de ces piedsentre mes cuisses en me caressant le sexe, d’autrefois en l’écrasant.- Je ne me doutais pas que le voyage serait aussi amusant.- Comment ça ?- Je parle de ton attirance pour mes pieds.- Ah…- Tu es gêné d’en parler en public ?- Un peu oui- Il ne faut pas, pour que ça aille mieux izmir escort bul prend ma chaussure et sens là.- Maintenant ?- Bien sur, il y a un peu de monde c’est parfait. Profite en pour lecher l’interieuraussi.- C’est quand même un peu trop la…- Mais non, fait le tout de suite ou je caresserais tellement ta bite que tout lemonde verra que t’es venu dans ton pantalon.Je ne le fais pas tout de suite. Je sens les pieds de Sofia bouger sur mon sexe. Je sensl’envie de jouir monter peu à peu mais je ne peux pas venir maintenant. Elle me regardeavec un grand sourire, je prend sa chaussure et la met mon nez dedans en public. Je lècheaussi l’intérieur. J’ai un mélange de transpiration et de saleté sur ma langue. Je bandeencore plus ça m’excite de faire ça. Tout le monde me regarde de façon étrange.- Tu vois ce n’était pas si compliqué. Trempe mes orteils dans ton café etremet ma chaussure. Tu sais bien ce qui t’attend si tu ne le fais pas.Je prend mon gobelet, je m’arrange pour placer ses orteils dedans. Je vais pour remettre lachaussure.- Attend avant de la remettre, suce le café bien sur directement sur mes pieds.Bien sûr j’obéi et je remet sa chaussure en place. Je ne fais plus attention au monde autourde nous.- Maintenant ton café va être un peu relevé ahah. Je suis sur que tu bandesencore plus et que je n’aurai aucun mal à te faire jouir.- Oui vous avez raison.- Fini de boire et revenons à la voiture veux tu.Je fini rapidement mon café. Nous nous levons et dirigeons vers la sortie. Tout le mondenous regarde passer, il y a des regards de dégoûts, d’autre son envieurs. Le plusgénéralement ce sont des hommes sous le regard inquisiteur de leur femme. Nous sommesà la voiture. Je lui ouvre la porte. Elle s’assoie.- Tout ça m’a excitée. Sens bien ma chaussure, lèche bien le dedans et je vaiste sucer comme tu ne l’as jamais été. Je te le promet.Elle me tend sa chaussure, je n’hésite pas une seconde je la met sur mon nez etj’inspire bien tout en léchant l’intérieur. Elle sort mon sexe, le malaxe. Il est dur depuis lerestaurant. Dépose un baiser. Crache dessus, et le malaxe encore. Elle l’engloutiedoucement dans sa bouche. C’est chaud et humide. Le caresse de sa langue. Elle fait depetit va et vient dans sa bouche. Elle accélère doucement en me caressant les bourses. Jeperd la tête, je suis subjugué par cette monté de plaisir et par l’odeur dans mes narines. Jelèche frénétiquement sa chaussure. Après quelques minutes je suis sur le point d’exploser.Tout mon corp tremble. Elle lâche mes bourses. Je sens quelque chose effleurer mon anus.Avant que je n’ai le temps de réagir je sens quelque chose entrer dans mon cul et sousl’action rapide de sa bouche je fini par jouir. Elle se lève, retire la chaussure de mon visageet m’embrasse à pleine bouche. Partageant ainsi le sperme qu’elle a avaler avec moi. Ellereste ainsi avec moi pendant plusieur minute pour s’assurer que j’en avale. Elle retireensuite ce qu’elle m’avait inséré en me le montrant. C’était le talon de son autre chaussure.- Tu as aimé ?- Oui…J’essaye de reprendre mes esprits après cette intense jouissance.- Bien maintenant c’est à moi d’en profiter. Met toi à genoux devant moi.Je ne suis pas en état de refuser, j’obéi. Elle fait glisser sa culotte, écarte les izmir escort sitesi jambes devantmoi.- Sens moi les pieds jusqu’à ce que je te dise d’arrêter.Je fais ce qu’elle me dis, je place sa plante sur mon nez. Je la vois passer sa mains sur sonclitoris et elle commence à se caresser. De son autre mains elle se met un doigt lentementdans la chatte. Je met mon nez entre ses orteils, elle accélère. Je respire toutes les effluventqu’elle m’offre, celà me fait bander. Elle rentre deux doigts. J’inspire grandement son odeuren voyant que ça l’excite, ça me met aussi dans une sorte de transe, je ne peux pasm’empêcher de continuer en la voyant et d’être encore plus excité. Elle pousse des petitsgémissement et sa chatte est bien humide. Elle pousse son pied dans ma bouche et finit parjouir. Je me retrouve avec mon nez coincé entre deux de ses orteils et son bien dont lesongles racle le fond de ma gorge.- Tu as aimé la vue j’espère.- Oui bien sûr c’était magique.- Continu à bien m’obéir et tu pourras te vider dedans.- Ça fait envie de se soumettre- Oh ça tu l’es déjà tu saisElle essuie sa chatte dégoulinante et frotte ses doigts contre ses orteils.- Lèche.Je me penche et passe ma langue dessus.- Tu vois, je te dresse bien que ce soit mes pieds ou leur odeur t’excite. Tantque tu obéiras ça sera comme ça tu auras énormément de plaisir. D’ailleur onva passer à la vitesse supérieure.Elle sort son gobelet de café vide qu’elle avait gardé. Le place sur sa chatte. Elle pissededans pendant que je lèche son pied.- Bois.- Mais c’est votre pisse !- Oui je sais et tu vas la boire.- Mais…Avant que je n’ai pu finir ma phrase elle place sa chaussure sur mon nez. Puis son pieddans ma bouche. Je ressens une forte excitation. Elle bouge ses orteils dans ma bouche. Jesens un liquide chaud arriver le long des ses orteils. Je réalise qu’elle fait glisser sa pisse lelong de sa jambe dans ma bouche. Je ne peux pas protester. J’avale ce liquide.- Tu vois ce n’étais pas si dur, viens le boire au gobelet maintenant.Elle me tend le verre. Je le prend doucement. Le porte à ma bouche. Elle pose la main surmon sexe pour m’encourager à boire. J’avale quelque goutes, elle me caresse. Je boisdoucement tandis qu’elle s’occupe de mon sexe. Je fini le verre.- Voilà, c’est bien et je suis sur que tu as aimé au final.- Pas vraiment…- Ne mens pas, regarde il en reste sur le bout de mes orteil…Elle bouge ses orteils devant mon visage, sans quelle me demande quoi que ce soit je leslèches un par un.- Tu vois bien que tu as aimé je ne t’ai rien demandé cette fois.Je me lève et retourne à ma place dans la voiture. Je ferme la portière. Je démarre et nouscontinuons la route. Elle pose les pieds sur le pare brise bien en vue.- Tu sais pendant que je me touchais il y avait plein de passant qui nousregardé. Ils regardaient ma chatte mais aussi il te regardais faire. Je penseque tu as fais des envieux.- Oui comme dans la cafétéria.- Justement oui, leurs femme n’avait pas l’air d’accord.- Elles devaient être jalouse.- Probablement oui. En tout cas tout le monde à bien vue que tu étais monchien servile. Peut être que je te récompenserais pour ça.- De quelle façon ?- Tu verras bien. Tu penses à mes pieds n’est ce pas ?- Oui… Je les sens tout le temps, vos bas, vos chaussures… Je ne peux pasme les sortir de la tête- C’est parfait. C’est bientôt l’heure de manger arrête toi sur la prochaine aire.Nous avons encore roulé pendant trente kilomètre avant de trouver une aire de repos. Jegare la voiture.